Entre Ombre et Lumière

Type

Chroniques Fantasy

Titre

Sans Titre / Entre Ombre et Lumière

Résumé

Astrid -une jeune fille rêveuse et lunatique de 15 ans- se découvre un don, intergir dans les pensées des autres.
C'est avec Tristan -un nouvel habitant du village qui possède la même faculté- qu'elle passera dans le Monde d'Armenia.
Un univers qui recèle bien des dangers et des secrets.
Et qui est donc cette Elue, protectrice du nouveau monde ?...

Remarque : Bon ben voili voilou, une histoire banale à en pleurer et qui ne vient que de commencer... J'attends vos coms !!

~¤~

°{1 }°

Elle ne savait plus.
Rêve ou réalité ?
Juchée là, sur un toit, Astrid essayait vainement de se dépêtrer de ses pensées et de ses questions sans réponses.Que faisait-elle ici par exemple, dans la nuit. Etait-elle en train de rêver ? Et quel était cet endroit… Car le toit en question n’appartenait en tous les cas pas à sa maison.
Baladant son regard un peu partout, elle reconnut enfin les lieux. Cette forêt, cette rivière… Et puis la bâtisse sur laquelle elle se tenait était cette demeure ayant appartenu à un vieux pêcheur mort depuis des années… L’édifice tenait lieu de maison hantée du village.
La rivière, autrefois riche en poisson, émettait un discret bruit de fond qui berçait Astrid.
Brise.
Astrid s’approcha du bord. Les tuiles pourtant recouvertes de mousses ne la firent pas glisser et elle se pencha.
La jeune fille réalisa soudain qu’elle n’était pas maîtresse de ses actes. Depuis quand ne contrôlait-on plus nos rêves ? Car il était évident qu’elle ne se trouvait pas là en réalité. C’étaitb impossible…
Le bruit de l’eau l’appelait, tel un chant, hypnotisant. Presque envoûtant.
La rivière renvoya le reflet argenté de la lune pleine.
Un cri.
Astrid sauta.

¤

Tristan contempla
longuement les cartons qui s’éparpillaient un peu partout dans sa chambre. Sa
nouvelle chambre.

Un papier peint
autrefois bleu pastel s’étirait sur les murs, arraché à quelques endroits,
révélant le plâtre jaunis par le temps et la moquette d’un vert foncé malsain
paraissait sale et n’était pas vraiment engagent.

Tristan bâilla sans vergogne.
Le voyage avait été long, très long. Et la fatigue pesait sur ses épaules malgré sa ténacité. Il grimaça en songeant à l’effort qu’il devrait fournir pour déballer ses affaires et les ranger. Il n’avait aucune envie de le faire maintenant.
Tristan sortit de sa chambre, dévala un escalier ancien qui grinça sous ses pas et sauta les dernières marches pour atterrir dans la cuisine où Catherine s’affairait.
Sa tutrice. Ses parents étaient morts ils y avait des années de cela. Son père s’était électrocuté et sa femme avait sombré dans la dépression jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Classique.
- Je sors, annonça
simplement Tristan.
La jeune femme entortilla une mèche blonde
autour de son doigt, signe de stress ou d’agacement, et marmonna :
- Ne reste pas trop
longtemps dehors, tu as encore tes affaires à préparer… à moins que tu ne
veuille dormir par terre.
Tristan sourit, faillit tirer la langue –un geste que sa tutrice haïssait- et enfila sa veste. Il se glissa dans ses chaussures et sortit.
Le froid mordant lui fit aussitôt regretter Marseille. Il songea un instant à la cause de son emménagement dans ce village perdu. Catherine lui avait vaguement expliqué que le loyer devenait trop cher et que son emploi était menacé. Elle avait déniché un petit job dans une crèche et ils étaient partis.
***, un petit bourg vers le Nord-Est de la France réputé pour son climat pluvieux et rarement
chaud.
Avec un soupir résigné, il se mit en marche, là où ses pas le guidaient. Le ciel pour une fois dégagé était d’un noir d’encre et les lampadaires –la plupart hors d’usage- ne diffusaient pas assez de lumière pour cacher l’éclat des étoiles.
Et au centre de la myriade, la lune.
Etant enfant, Tristan avait souvent rêvé de rejoindre l’astre de la nuit. Et ce désir ne l’avait pas quitté.
Une brise fraîche
fit frissonner le garçon et il réajusta son manteau, remontant le col pour se protéger le cou. S’il revenait malade de son expédition nocturne, Catherine le tuerait à coup sur. Avec une poêle.
L’idée de sa mèr d’adoption le poursuivant en hurlant dans la maison, empoignant l’ustensile de cuisine d’une main ferme, fit sourire Tristan.
La patience de la jeune femme était quasi-inexistante. Mis à part ce petit défaut plein de charme, elle était très facile à vivre, souriante, charmante, et ne l’embêtait pas pour des broutilles.
Une mère que beaucoup d’adolescents rêveraient d’avoir.

[ A suivre ]
Petit com ?

Mais euh !
Sélia, mets l'autre version, enfin, la dernière phrase avec Astrid...Je suis sure qu'ils vont adorer !
C'est meiux que ce que t'as écris ! Sinon, mon avis, tu le connais déjà ...J'adore ! Certes, je trouve l'idée un peu banal ( marre du fantastique ! ) mais, sinon, c'est génial ! Ton style d'écriture est rudement bien fait !
Bravo !

Très bien.... Dans ce cas, je fais un sondage !!
RDV à "Que mettre ?"
Et Nédy, ça se voit que tu n'as pas lu un truc de Marlyn !! ><

Bon, déjà..

VOTEZ UNE FEUILLE TOMBA ASTRID SAUTA !

Ensuite,
C'est pas marlyn, mas DUNCAN..

Ensuite, arrète de te sous-estimer, sinon, on va devoir rediscuter de ton cas...........au collège...

* Biiiiiip !! * Nedy, si je vous reprend à parler de ça au collège, je te jure que non seulement je te traverse la face ( ou t'arrache la tignasse ) mais en plus nos rapports risquent de considérablement se dégrader...
Je vais bien !!

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